Archives des Actualités : Mairie d'Ouveillan

Rappel déjections canines !!!!

Un petit geste pour le propriétaire mais un grand geste pour la collectivité !!!

Après plusieurs signalements en mairie pour dénoncer des déjections canines de plus en plus nombreuses, nous rappelons les notions suivantes:

Pour des raisons sanitaires, les crottes de chien sont interdites sur les trottoirs, les voies publiques, les espaces verts et de jeux publics réservés aux enfants.

Toutefois, les déjections de votre chien sont autorisées dans les caniveaux à condition que ceux-ci ne se trouvent pas à l’intérieur d’un passage pour piétons et que les déjections soient par la suite ramassées. Elles sont en effet responsables de nombreux désagréments visuelsolfactifs et sanitaires et sont également impliquées dans la dégradation du cadre de vie et des espaces verts.

Par ailleurs, la déjection canine favorise la prolifération des microbes et augmente les risques de chutes. En outre, leur nettoyage nécessite un budget conséquent, car il requiert le déploiement des services de nettoyage.

En raison de tout ce qui précède, l’article R632-1 du Code pénal et l’article R541-76 du Code de l’environnement classent les déjections canines au même rang que les déchets, les ordures, les liquides et les liquides insalubres. Par conséquent, le fait d’abandonner les crottes de son chien sur la voie publique expose à une contravention de 2e classe: 35€.

POURQUOI RAMASSER LES DÉJECTIONS DE SON CHIEN ?

Sans parler d’amende, sachant que les déjections canines constituent un réel risque sanitaire pour l’être humain, en particulier pour les enfants, ce geste civique s’impose. Les crottes de chien contiennent en effet des parasites fécaux et des agents pathogènes capables de contaminer l’Homme.

RAMASSER LES CROTTES DE SON CHIEN

Pour un propriétaire de chien qui se respecte, le ramassage des déjections de son animal doit être un réflexe. En outre, un passant peut malencontreusement glisser sur la crotte d’un chien et se faire mal. Dans ce cas, la responsabilité civile du propriétaire de l’animal est engagée.

MERCI DE PARTICIPER A LA QUALITÉ DE VIE D’OUVEILLAN.

Souce: ABC Signalitique

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Deux journées du patrimoine très fréquentées

Photo: L’Indépendant

Si cette année, les Journées du patrimoine étaient placées sous le signe du vivant, la commission extra-municipale du patrimoine en mettant à l’honneur trois entités ouveillanaises a été largement récompensée par la nombreuse fréquentation, sur les deux jours des 16 et 17septembre.

Les trois expositions, très fournies, concernant l’histoire de l’UMO, l’AOCS, et l’usine de Pierre Calvet, précurseur dans le matériel agricole, ont permis aux Ouveillanais de souche et aux Ouveillanais d’adoption de mieux connaître ces différentes histoires qui sont une trame importante de la vie de notre village s’étalant sur plus d’un siècle.

Les bénévoles de la commission sont heureux, car le travail de fourmi réalisé depuis plus de trois mois a été récompensé par la venue de près de 400 personnes très à l’écoute de ce passé.

Attachés à être le plus précis possible, ils ont glané ici et là, photos, anciens maillots de la longue histoire du rugby née dans les années 1900, ouvert un diaporama de près de 1000 photos anciennes et récentes où de nombreux visiteurs ont refait le parcours à l’envers; remis à neuf des drapeaux de l’UMO, retrouver des archives et relater son historique depuis les années 1836 (merci André); retracer par des photos et la biographie de l’homme, Pierre Calvet, fondateur de l’usine, créateur et inventeur de l’enjambeur, du tracteur articulé, du canon oscillant automatique, ayant imaginé l’avion à décollage vertical dont il déposera le brevet, mais que les Américains « récupéreront ».

Un cerveau bouillonnant tourné vers l’avenir et la mécanisation de la vigne qui décédera en 2012.

Désormais une rue « Pierre-Calvet » inaugurée par la municipalité, ce samedi, en présence de ses enfants, petits et arrière-petit-enfant lui a été dédiée.

Bref un « vivant » hommage à trois belles histoires que se doivent de garder et transmettre les générations présentes et futures, car l’affectif a été palpable tout au long de ces deux journées.

Article: L’Indépendant du 20/09/23
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