RAPPEL: Moustique-tigre: campagne 2023

Voilà plus d’une trentaine d’années qu’Aedes albopictus (ou moustique-tigre) est présent en Europe occidentale : identifié en Albanie dès 1979, il est présent, notamment, en Italie depuis le début des années 1990. Depuis sa zone d’origine, le sud-est asiatique, il a essaimé à la surface de la planète à la faveur du commerce international, en particulier des pneumatiques usagés.

En 18 ans, soixante et onze départements colonisés

Un autre problème est, ensuite, celui de son extension de proche en proche par des moyens très classiques : les transports individuels et collectifs. Car le moustique-tigre Aedes albopictus prend la voiture, le train ou l’autobus (entre autres)… C’est comme cela qu’il a franchi la frontière franco-italienne, en 2004 / 2005, du côté de Menton (Alpes-Maritimes), et qu’il a commencé à coloniser des territoires entiers. Après seize années, il a été identifié, fin 2022, dans 71 départements métropolitains, dans des proportions variées. Il est désormais bien implanté en Corse, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Occitanie, particulièrement en ex-Languedoc-Roussillon. Il remonte la vallée du Rhône, à l’est, et le littoral atlantique, à l’ouest. Il a été trouvé jusqu’en région parisienne et en Alsace.

Présent en Occitanie

C’est depuis 2011 / 2012 qu’il a commencé à investir le Languedoc-Roussillon, par le département du Gard. Fin 2022, il était installé dans 259 commune gardoises (dont Nîmes et Alès), 255 communes héraultaises (dont Montpellier, Sète et Béziers), 179 communes audoises (dont Narbonne et Carcassonne), 147 communes dans les P-O (dont Perpignan). Son extension continue vers le sud-ouest, puisqu’on le trouve aussi, à des degrés divers, dans les treize départements d’Occitanie…, jusqu’en Nouvelle-Aquitaine et au-delà.

Prévention

Les manières concrètes de se prémunir du moustique-tigre

Les femelles du moustique-tigre Aedes albopictus pondent leurs œufs à sec, sur la paroi ou le rebord d’un récipient ou objet incurvé pouvant recueillir de l’eau, et/ou à la limite d’un niveau d’eau. À partir du milieu du printemps, lorsque les conditions climatiques sont favorables, les œufs éclosent dès qu’ils entrent en contact avec de l’eau (pluie, arrosage…) : ils donnent alors des larves qui, au bout de 5 à 6 jours, deviennent, après nymphose, des moustiques adultes et… piqueurs. Important : ce phénomène se produit avec des eaux propres comme sales.

Gîtes larvaires : un peu partout chez soi

Les « gîtes » de reproduction du moustique-tigre Aedes albopictus sont très souvent de micro dimension (à partir de quelques millilitres seulement), toujours en milieu urbain ou périurbain, jamais en milieux naturels humides ouverts. C’est une foultitude de petites collections d’eau artificielles telles que :

  • seaux, vases, soucoupes.
  • fûts, citernes, récupérateurs d’eau.
  • chéneaux et gouttières, bondes et rigoles.
  • pneus, boîtes de conserve.
  • et tout petit réceptacle d’eaux pluviales ou domestiques à découvert.

Ces « gîtes » de reproduction sont, en grande partie, « fabriqués » par l’Homme. Ils se trouvent, pour 80 % d’entre eux, au sein des domiciles privés : cours, jardins, terrasses, balcons… Il est impossible de les recenser tous et de les traiter systématiquement à l’état larvaire, car ils pullulent et sont aléatoires dans l’espace et dans le temps.

Pas d’eau pour les moustiques

Alors, si vous êtes dans cette situation, ne tergiversez pas : la façon la plus efficace de se protéger de ces nuisances en amont, c’est ranger, curer, protéger, couvrir (toiles moustiquaires) ou évacuer les eaux stagnantes. Ou, mieux encore : chaque fois que possible, supprimer physiquement ces gîtes. Et convaincre son voisinage de faire de même, car agir isolément n’est pas suffisant. Il faut se mobiliser collectivement.

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

Toutes les infos sur : www.moustiquetigre.org

Qui suis-je ? *

Je suis tout petit (moins de 7 mm), très noir avec des tigrures blanches sur le corps qui m’ont valu mon surnom.

Contrairement à certains de mes congénères, je pique le jour, à l’extérieur des habitations, et je suis très vorace ! La nuit, je me repose dans la végétation.

J’affectionne particulièrement l’Homme, en milieu urbain, qui me fournit le « repas » sanguin, nécessaire à la maturation de mes œufs, ainsi que les lieux de ponte, qui sont tous récipients ou objets pouvant recueillir de l’eau, souvent très petits.

Je me déplace très peu (150 mètres environ depuis mon lieu de naissance) car je vole très mal. Mais pour coloniser les territoires, j’ai une astuce : le transport passif ! J’accompagne l’Homme dans ses déplacements. Et oui, je prends la voiture, le train, le bus, les camions et tout autre moyen de transports. Très pratique ! C’est ce qui m’a permis de quitter mon Asie du sud-est originelle pour venir m’implanter un peu partout sur la planète, y compris dans plus d’une soixantaine de départements métropolitains, à ce jour.

J’ai une excellente capacité d’adaptation. En régions tempérées, j’ai une activité de mai à novembre. En période hivernale, mes œufs se mettent en diapause (une sorte d’hibernation) et, dans de « bonnes conditions » (après une mise en eau), mon espèce revient en force la saison suivante.

Les Hommes ne m’aiment pas, car si je pique beaucoup, je suis aussi potentiellement vecteur de maladies, comme la dengue, le chikungunya ou le Zika. Mais pour cela, il faut que je pique une personne atteinte de cette maladie et se trouvant en période de virémie, ce qui dans nos régions tempérées est heureusement rare.

Développement aquatique : c’est là que tout se joue

La multitude de gîtes larvaires (lieux de ponte) qui existent dans notre environnement proche (seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes, gouttières obstruées, bâches non tendues…) fait de chacune et chacun de nous le premier acteur de la lutte contre la prolifération de ce moustique. Plusieurs gestes simples, économiques et efficaces peuvent être mis en œuvre :

  • mettre du sable dans les coupelles de pots de fleurs, qui évite l’eau stagnante tout en gardant, après arrosage, l’humidité.
  • fermer hermétiquement les collecteurs d’eau de pluie ou les couvrir avec de la toile moustiquaire à maille fine (car le moustique-tigre est tout petit).
  • vérifier l’écoulement des eaux des gouttières et de tout autre conduit.
  • vider une fois par semaine ou ramasser tous les réceptacles potentiels dans les jardins, sur les terrasses et les balcons (écuelles pour animaux, bâches non tendues, jouets, outils et objets de jardinage qui peuvent retenir l’eau, etc).

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

C’est au prix d’une lutte incessante, individuelle et collective (au niveau de chez soi ET de son quartier), que pourront être réduits les niveaux de populations de moustiques-tigres et leur nuisance.

Pour en savoir plus : www.moustiquetigre.org

Informations complémentaires : www.eid-med.org

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Moustique-tigre: campagne 2023

Voilà plus d’une trentaine d’années qu’Aedes albopictus (ou moustique-tigre) est présent en Europe occidentale : identifié en Albanie dès 1979, il est présent, notamment, en Italie depuis le début des années 1990. Depuis sa zone d’origine, le sud-est asiatique, il a essaimé à la surface de la planète à la faveur du commerce international, en particulier des pneumatiques usagés.

En 18 ans, soixante et onze départements colonisés

Un autre problème est, ensuite, celui de son extension de proche en proche par des moyens très classiques : les transports individuels et collectifs. Car le moustique-tigre Aedes albopictus prend la voiture, le train ou l’autobus (entre autres)… C’est comme cela qu’il a franchi la frontière franco-italienne, en 2004 / 2005, du côté de Menton (Alpes-Maritimes), et qu’il a commencé à coloniser des territoires entiers. Après seize années, il a été identifié, fin 2022, dans 71 départements métropolitains, dans des proportions variées. Il est désormais bien implanté en Corse, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Occitanie, particulièrement en ex-Languedoc-Roussillon. Il remonte la vallée du Rhône, à l’est, et le littoral atlantique, à l’ouest. Il a été trouvé jusqu’en région parisienne et en Alsace.

Présent en Occitanie

C’est depuis 2011 / 2012 qu’il a commencé à investir le Languedoc-Roussillon, par le département du Gard. Fin 2022, il était installé dans 259 commune gardoises (dont Nîmes et Alès), 255 communes héraultaises (dont Montpellier, Sète et Béziers), 179 communes audoises (dont Narbonne et Carcassonne), 147 communes dans les P-O (dont Perpignan). Son extension continue vers le sud-ouest, puisqu’on le trouve aussi, à des degrés divers, dans les treize départements d’Occitanie…, jusqu’en Nouvelle-Aquitaine et au-delà.

Prévention

Les manières concrètes de se prémunir du moustique-tigre

Les femelles du moustique-tigre Aedes albopictus pondent leurs œufs à sec, sur la paroi ou le rebord d’un récipient ou objet incurvé pouvant recueillir de l’eau, et/ou à la limite d’un niveau d’eau. À partir du milieu du printemps, lorsque les conditions climatiques sont favorables, les œufs éclosent dès qu’ils entrent en contact avec de l’eau (pluie, arrosage…) : ils donnent alors des larves qui, au bout de 5 à 6 jours, deviennent, après nymphose, des moustiques adultes et… piqueurs. Important : ce phénomène se produit avec des eaux propres comme sales.

Gîtes larvaires : un peu partout chez soi

Les « gîtes » de reproduction du moustique-tigre Aedes albopictus sont très souvent de micro dimension (à partir de quelques millilitres seulement), toujours en milieu urbain ou périurbain, jamais en milieux naturels humides ouverts. C’est une foultitude de petites collections d’eau artificielles telles que :

  • seaux, vases, soucoupes.
  • fûts, citernes, récupérateurs d’eau.
  • chéneaux et gouttières, bondes et rigoles.
  • pneus, boîtes de conserve.
  • et tout petit réceptacle d’eaux pluviales ou domestiques à découvert.

Ces « gîtes » de reproduction sont, en grande partie, « fabriqués » par l’Homme. Ils se trouvent, pour 80 % d’entre eux, au sein des domiciles privés : cours, jardins, terrasses, balcons… Il est impossible de les recenser tous et de les traiter systématiquement à l’état larvaire, car ils pullulent et sont aléatoires dans l’espace et dans le temps.

Pas d’eau pour les moustiques

Alors, si vous êtes dans cette situation, ne tergiversez pas : la façon la plus efficace de se protéger de ces nuisances en amont, c’est ranger, curer, protéger, couvrir (toiles moustiquaires) ou évacuer les eaux stagnantes. Ou, mieux encore : chaque fois que possible, supprimer physiquement ces gîtes. Et convaincre son voisinage de faire de même, car agir isolément n’est pas suffisant. Il faut se mobiliser collectivement.

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

Toutes les infos sur : www.moustiquetigre.org

Qui suis-je ? *

Je suis tout petit (moins de 7 mm), très noir avec des tigrures blanches sur le corps qui m’ont valu mon surnom.

Contrairement à certains de mes congénères, je pique le jour, à l’extérieur des habitations, et je suis très vorace ! La nuit, je me repose dans la végétation.

J’affectionne particulièrement l’Homme, en milieu urbain, qui me fournit le « repas » sanguin, nécessaire à la maturation de mes œufs, ainsi que les lieux de ponte, qui sont tous récipients ou objets pouvant recueillir de l’eau, souvent très petits.

Je me déplace très peu (150 mètres environ depuis mon lieu de naissance) car je vole très mal. Mais pour coloniser les territoires, j’ai une astuce : le transport passif ! J’accompagne l’Homme dans ses déplacements. Et oui, je prends la voiture, le train, le bus, les camions et tout autre moyen de transports. Très pratique ! C’est ce qui m’a permis de quitter mon Asie du sud-est originelle pour venir m’implanter un peu partout sur la planète, y compris dans plus d’une soixantaine de départements métropolitains, à ce jour.

J’ai une excellente capacité d’adaptation. En régions tempérées, j’ai une activité de mai à novembre. En période hivernale, mes œufs se mettent en diapause (une sorte d’hibernation) et, dans de « bonnes conditions » (après une mise en eau), mon espèce revient en force la saison suivante.

Les Hommes ne m’aiment pas, car si je pique beaucoup, je suis aussi potentiellement vecteur de maladies, comme la dengue, le chikungunya ou le Zika. Mais pour cela, il faut que je pique une personne atteinte de cette maladie et se trouvant en période de virémie, ce qui dans nos régions tempérées est heureusement rare.

Développement aquatique : c’est là que tout se joue

La multitude de gîtes larvaires (lieux de ponte) qui existent dans notre environnement proche (seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes, gouttières obstruées, bâches non tendues…) fait de chacune et chacun de nous le premier acteur de la lutte contre la prolifération de ce moustique. Plusieurs gestes simples, économiques et efficaces peuvent être mis en œuvre :

  • mettre du sable dans les coupelles de pots de fleurs, qui évite l’eau stagnante tout en gardant, après arrosage, l’humidité.
  • fermer hermétiquement les collecteurs d’eau de pluie ou les couvrir avec de la toile moustiquaire à maille fine (car le moustique-tigre est tout petit).
  • vérifier l’écoulement des eaux des gouttières et de tout autre conduit.
  • vider une fois par semaine ou ramasser tous les réceptacles potentiels dans les jardins, sur les terrasses et les balcons (écuelles pour animaux, bâches non tendues, jouets, outils et objets de jardinage qui peuvent retenir l’eau, etc).

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

C’est au prix d’une lutte incessante, individuelle et collective (au niveau de chez soi ET de son quartier), que pourront être réduits les niveaux de populations de moustiques-tigres et leur nuisance.

Pour en savoir plus : www.moustiquetigre.org

Informations complémentaires : www.eid-med.org

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Jeu concours “L’Occitanie, une MERveille”

Dans le cadre de l’exposition “L’Occitanie, une MERveille…” qui se déroule jusqu’au 29 juillet 2022, la Maison de Ma Région Narbonne organise un jeu concours, avec de nombreux lots à gagner (produits sud de France, tee-shirt, casquettes, livres…etc…) pour de nombreux lauréats.

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Vide grenier à Narbonne

Le comité d’animation Voltaire Joffre et ses commerçants organisent leur vide grenier le Dimanche 8 mai toute la journée.

A cette occasion, et toujours dans le cadre de son exposition « L’Occitanie, une MERveille » , votre Maison de ma Région Narbonne ouvre ses portes de 10h00 à 17h00 pour vous informer sur tous les dispositifs régionaux et vous laisser visiter son exposition sur la mer,  et vous propose son marché des producteurs de 10h30 à 14h00 (autour des produits de la mer essentiellement) dans ses locaux .

Premiers producteurs partenaires :

–          Les Salins de Gruissan

–          Château Fabre Cordon , Cuvée L’Autre Blanc

–          Pierre Beaux, Domaine la Farigoulette

–          La Biscuiterie « Jean-Louis et Colette » de Trèbes.…. etc….

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Le Royal passe le mur du son

Du 1 au 3 mars, le Royal a connu une rénovation très attendue. Une rénovation qui ne se voit pas au premier coup d’œil mais qui s’entend à la première note. En effet la sonorisation a changé de millénaire. Une société marseillaise spécialisée dans ce domaine a réalisé une installation professionnelle.

Ce système audio 5.1, constitué de 3 enceintes et d’1 caisson de basses derrière l’écran complétés par 2 enceintes latérales, va pouvoir restituer un son de vraie qualité cinéma pour une puissance avoisinant les 2000w à haut rendement. Ciném’aude a validé la réalisation après avoir effectué leurs essais.

Le coût de cette l’opération indispensable s’élève à 15.500€ mais est significativement atténué par la subvention de 10.400€ de la Région Occitanie.

Venez profiter de ce nouvel environnement sonore samedi 5 mars pour 3 projections :

  • Tarif plein : 5,50€
  • Tarif réduit: Moins de 14 ans, familles nombreuses, étudiants, lycéens, demandeurs d’emploi, séniors + de 60ans.

15h30 : Vaillante

18h00 : Super Héros

20h30 : Daï daï daï daï

Plus d’infos

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Visitez l’exposition « Bâtir en Occitanie… »

Du 17 janvier au 4 avril 2022

Exposition photos sur les grandes constructions de la Région Occitanie, exposition prêtée par le CAUE de l’Aude «Vivre et construire avec le climat en Languedoc-Roussillon», exposition photos sur la construction du port de Gruissan prêtées par la Ville de Gruissan, exposition de livres prêtés par la Librairie indépendante narbonnaise «Libellis», présentation de maquettes réalisées et prêtées par le Lycée Louise Michel, jeux de construction pour les plus petits…

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Journée des Ateliers d’Artistes d’Occitanie

La 4ème édition de la Journée des Ateliers d’Artistes d’Occitanie aura lieu le dimanche 10 octobre 2021.

Dans le contexte actuel et sans précédent que nous vivons, il est important de renforcer la visibilité de la création contemporaine et de favoriser la rencontre entre le public et l’artiste sur des modalités nouvelles et de sensibiliser le public au métier des artistes-auteur(trices). L’an dernier, 395 participants ont ouvert les portes de leur atelier sur les 13 départements de l’Occitanie et 217 communes afin de tisser des liens privilégiés avec le public.

La campagne d’inscription est ouverte jusqu’au 31 août, sur le site: https://www.laregion.fr/JAA

Pour toute question sur cette opération régionale vous pouvez nous écrire à cette adresse : jaa-occitanie@laregion.fr

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Didier Codorniou, vice-président de la Région, en visite à Ouveillan

Didier Codorniou, premier vice-président de la région Occitanie, est venu à la rencontre des élus ouveillanais en début de semaine. Sa visite a été l’occasion d’aborder plusieurs sujets et de faire le tour des problématiques et projets municipaux.

En entrant en mairie, Didier Codorniou s’est félicité “du contact renoué entre la commune et la Région”. Dans les années les plus récentes, il avait eu l’occasion de se déplacer dans la commune, mais plutôt à l’invitation des vignerons. Pour lui souhaiter la bienvenue, le maire Jean-Paul Chaluleau, était accompagné d’une délégation d’élus, composée de Brigitte Bestué, Jean-Antoine Villegas et Jacques Bardin.

En préambule, une réunion de travail en mairie a permis de présenter la situation d’Ouveillan, puis les différentes pistes de réflexion et d’action. Il a notamment été question du projet de cantine scolaire, de la seconde tranche de la Maison des associations, de l’opération bourg-centre, d’un projet culturel aussi.

Les travaux aux écoles ont été également abordés, la réfection des toitures notamment, étant essentielle, tant l’état de dégradation est important.

Didier Codorniou a bien pris note de tous les chantiers ouveillanais et a salué la volonté d’avancer des élus et du personnel communal, dans un contexte pourtant difficile. Il a détaillé au passage les divers domaines dans lesquels la Région peut intervenir.

Dans un second temps, le vice-président de la Région est parti à la découverte du cœur de village, avec les élus. Il a apprécié les atouts patrimoniaux d’Ouveillan et il s’est rendu sur le chantier de la Maison des associations.

À l’issue de cette matinée de rencontre et d’observation menée dans un climat amical et de confiance réciproque, Didier Codorniou a réaffirmé le souhait de la Région de soutenir les initiatives et les projets des communes rurales, ce qu’elle accomplit au quotidien à travers une palette d’engagements. Il reviendra à Ouveillan dans quelques semaines pour approfondir certains dossiers.

Cette première prise de contact a été très positive entre une commune désireuse de travailler avec toutes les collectivités partenaires et la Région Occitanie, qui entend continuer son œuvre de soutien aux initiatives locales. En cette matinée, Ouveillan a été d’attaque avec en son sein un ex trois-quart centre de grand talent.

Article 16/01/21 – Correspondant

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