Ateliers Séniors: Réunion d’informations

Percep’sens. Prendre du temps pour soi pour s’épanouir ensemble au quotidien

Réunion d’informations: Conférence de sensibilisation interactive avec des ateliers “découverte” mémoire et santé.

Redécouvrir le plaisir de s’exercer, de s’affirmer, de se sentir compétent et reconnu. Echanger et partager un moment convivial autour d’exercices cognitifs, sensoriels et corporels afin de préserver votre mémoire, de reprendre confiance en vos capacités.

 Le 5 Septembre de 14h00 – 16h00 – Cinéma le Royal – Bd Robespierre

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RAPPEL: Moustique-tigre: campagne 2023

Voilà plus d’une trentaine d’années qu’Aedes albopictus (ou moustique-tigre) est présent en Europe occidentale : identifié en Albanie dès 1979, il est présent, notamment, en Italie depuis le début des années 1990. Depuis sa zone d’origine, le sud-est asiatique, il a essaimé à la surface de la planète à la faveur du commerce international, en particulier des pneumatiques usagés.

En 18 ans, soixante et onze départements colonisés

Un autre problème est, ensuite, celui de son extension de proche en proche par des moyens très classiques : les transports individuels et collectifs. Car le moustique-tigre Aedes albopictus prend la voiture, le train ou l’autobus (entre autres)… C’est comme cela qu’il a franchi la frontière franco-italienne, en 2004 / 2005, du côté de Menton (Alpes-Maritimes), et qu’il a commencé à coloniser des territoires entiers. Après seize années, il a été identifié, fin 2022, dans 71 départements métropolitains, dans des proportions variées. Il est désormais bien implanté en Corse, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Occitanie, particulièrement en ex-Languedoc-Roussillon. Il remonte la vallée du Rhône, à l’est, et le littoral atlantique, à l’ouest. Il a été trouvé jusqu’en région parisienne et en Alsace.

Présent en Occitanie

C’est depuis 2011 / 2012 qu’il a commencé à investir le Languedoc-Roussillon, par le département du Gard. Fin 2022, il était installé dans 259 commune gardoises (dont Nîmes et Alès), 255 communes héraultaises (dont Montpellier, Sète et Béziers), 179 communes audoises (dont Narbonne et Carcassonne), 147 communes dans les P-O (dont Perpignan). Son extension continue vers le sud-ouest, puisqu’on le trouve aussi, à des degrés divers, dans les treize départements d’Occitanie…, jusqu’en Nouvelle-Aquitaine et au-delà.

Prévention

Les manières concrètes de se prémunir du moustique-tigre

Les femelles du moustique-tigre Aedes albopictus pondent leurs œufs à sec, sur la paroi ou le rebord d’un récipient ou objet incurvé pouvant recueillir de l’eau, et/ou à la limite d’un niveau d’eau. À partir du milieu du printemps, lorsque les conditions climatiques sont favorables, les œufs éclosent dès qu’ils entrent en contact avec de l’eau (pluie, arrosage…) : ils donnent alors des larves qui, au bout de 5 à 6 jours, deviennent, après nymphose, des moustiques adultes et… piqueurs. Important : ce phénomène se produit avec des eaux propres comme sales.

Gîtes larvaires : un peu partout chez soi

Les « gîtes » de reproduction du moustique-tigre Aedes albopictus sont très souvent de micro dimension (à partir de quelques millilitres seulement), toujours en milieu urbain ou périurbain, jamais en milieux naturels humides ouverts. C’est une foultitude de petites collections d’eau artificielles telles que :

  • seaux, vases, soucoupes.
  • fûts, citernes, récupérateurs d’eau.
  • chéneaux et gouttières, bondes et rigoles.
  • pneus, boîtes de conserve.
  • et tout petit réceptacle d’eaux pluviales ou domestiques à découvert.

Ces « gîtes » de reproduction sont, en grande partie, « fabriqués » par l’Homme. Ils se trouvent, pour 80 % d’entre eux, au sein des domiciles privés : cours, jardins, terrasses, balcons… Il est impossible de les recenser tous et de les traiter systématiquement à l’état larvaire, car ils pullulent et sont aléatoires dans l’espace et dans le temps.

Pas d’eau pour les moustiques

Alors, si vous êtes dans cette situation, ne tergiversez pas : la façon la plus efficace de se protéger de ces nuisances en amont, c’est ranger, curer, protéger, couvrir (toiles moustiquaires) ou évacuer les eaux stagnantes. Ou, mieux encore : chaque fois que possible, supprimer physiquement ces gîtes. Et convaincre son voisinage de faire de même, car agir isolément n’est pas suffisant. Il faut se mobiliser collectivement.

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

Toutes les infos sur : www.moustiquetigre.org

Qui suis-je ? *

Je suis tout petit (moins de 7 mm), très noir avec des tigrures blanches sur le corps qui m’ont valu mon surnom.

Contrairement à certains de mes congénères, je pique le jour, à l’extérieur des habitations, et je suis très vorace ! La nuit, je me repose dans la végétation.

J’affectionne particulièrement l’Homme, en milieu urbain, qui me fournit le « repas » sanguin, nécessaire à la maturation de mes œufs, ainsi que les lieux de ponte, qui sont tous récipients ou objets pouvant recueillir de l’eau, souvent très petits.

Je me déplace très peu (150 mètres environ depuis mon lieu de naissance) car je vole très mal. Mais pour coloniser les territoires, j’ai une astuce : le transport passif ! J’accompagne l’Homme dans ses déplacements. Et oui, je prends la voiture, le train, le bus, les camions et tout autre moyen de transports. Très pratique ! C’est ce qui m’a permis de quitter mon Asie du sud-est originelle pour venir m’implanter un peu partout sur la planète, y compris dans plus d’une soixantaine de départements métropolitains, à ce jour.

J’ai une excellente capacité d’adaptation. En régions tempérées, j’ai une activité de mai à novembre. En période hivernale, mes œufs se mettent en diapause (une sorte d’hibernation) et, dans de « bonnes conditions » (après une mise en eau), mon espèce revient en force la saison suivante.

Les Hommes ne m’aiment pas, car si je pique beaucoup, je suis aussi potentiellement vecteur de maladies, comme la dengue, le chikungunya ou le Zika. Mais pour cela, il faut que je pique une personne atteinte de cette maladie et se trouvant en période de virémie, ce qui dans nos régions tempérées est heureusement rare.

Développement aquatique : c’est là que tout se joue

La multitude de gîtes larvaires (lieux de ponte) qui existent dans notre environnement proche (seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes, gouttières obstruées, bâches non tendues…) fait de chacune et chacun de nous le premier acteur de la lutte contre la prolifération de ce moustique. Plusieurs gestes simples, économiques et efficaces peuvent être mis en œuvre :

  • mettre du sable dans les coupelles de pots de fleurs, qui évite l’eau stagnante tout en gardant, après arrosage, l’humidité.
  • fermer hermétiquement les collecteurs d’eau de pluie ou les couvrir avec de la toile moustiquaire à maille fine (car le moustique-tigre est tout petit).
  • vérifier l’écoulement des eaux des gouttières et de tout autre conduit.
  • vider une fois par semaine ou ramasser tous les réceptacles potentiels dans les jardins, sur les terrasses et les balcons (écuelles pour animaux, bâches non tendues, jouets, outils et objets de jardinage qui peuvent retenir l’eau, etc).

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

C’est au prix d’une lutte incessante, individuelle et collective (au niveau de chez soi ET de son quartier), que pourront être réduits les niveaux de populations de moustiques-tigres et leur nuisance.

Pour en savoir plus : www.moustiquetigre.org

Informations complémentaires : www.eid-med.org

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Fermeture des massifs

La préfecture communique:

En raison du risque d’incendie, les massifs de la Clape, de Fontfroide et Pinèdes Crémades sont fermés au public du 10 juillet au 31 août. Le massif St-Lucie sera fermé en cas de risque très sévère d’incendie.

Ce lien pour accéder à la carte journalière des risques incendie.

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Débroussailler son terrain et les abords de son habitation

Débroussailler son terrain et les abords de son habitation, c’est obligatoire et c’est investir pour votre sécurité face aux feux de forêt et de végétation

Les feux majeurs de 2022 nous rappellent l’importance du risque d’incendie de forêt et de végétation. Le changement climatique intensifie ce risque : la saison des feux s’allonge et le risque s’étend progressivement dans de nouvelles régions. Pour prévenir ce danger, le débroussaillement de votre terrain et des abords de votre habitation est la meilleure des protections pour vous, vos biens et la nature environnante. Le débroussaillement est la ceinture de sécurité de votre habitation face aux feux : il limite leur propagation et facilite l’intervention des sapeurs-pompiers. En débroussaillant votre terrain, vous investissez donc pour votre sécurité. C’est pourquoi c’est une obligation légale sur notre territoire, classé à risque.

Débroussailler, qu’est-ce que c’est ?

Débroussailler vise à réduire la masse de végétaux dans une zone de 50 mètres (ou 100 mètres – à adapter au contexte communal) autour de vos bâtiments ou autre équipement. Ce n’est ni une coupe rase, ni un défrichement. Réduire cette masse permet de diminuer l’intensité des feux et de limiter leur propagation. Les premiers travaux de débroussaillement comportent souvent de l’élagage et peuvent nécessiter d’abattre certains arbres. Une fois le débroussaillement initial réalisé, les débroussaillements suivants consistent surtout en de l’entretien et de la suppression de broussailles.

Qui est concerné ?

Vous êtes concerné par cette obligation si vous êtes propriétaire de bâtiments ou d’équipements situés à moins de 200 mètres de bois, forêts, landes, maquis et garrigues. Vous êtes également concerné si vous possédez une parcelle constructible dans les zones précitées. La réalisation du débroussaillement peut, par ailleurs, nécessiter d’intervenir sur la propriété de vos voisins, car la responsabilité du débroussaillement pèse sur le propriétaire de la construction à défendre. Il vous appartient alors de demander à vos voisins l’autorisation d’accéder à leur terrain et d’y effectuer les opérations de débroussaillement. S’ils s’y opposent, ces travaux seront à leur charge et deviennent de leur responsabilité (administrative et pénale). Le maire est chargé du contrôle du respect de cette obligation et les agents assermentés, notamment ceux de l’Office national des forêts (ONF), sont habilités à verbaliser.

Pour savoir si vous êtes concerné par l’obligation légale de débroussaillement, vous pouvez contacter la mairie, la préfecture ou vous rendre sur feux-foret.gouv.fr, où vous trouverez toutes les informations utiles.

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Enquête sur la mobilité dans l’Aude

Face aux multiples enjeux que recouvrent les mobilités, tant afin de les rendre plus durables que de faciliter le quotidien des Audoise et des Audois, le Département va définir une stratégie départementale qui se concrétisera dans un schéma des mobilité. Désirant s’appuyer sur le vécu des habitants de notre territoire, une enquête est en cours jusqu’au 19 mai. Elle est destinée à l’ensemble des habitants de l’Aude, mais également des visiteurs et des personnes travaillant sur le département.

Jusqu’au 19 mai, Audoise et Audois sont invités à répondre au questionnaire disponible en ligne mais aussi en version papier dans tous les lieux d’accueil du Public de la collectivité.

Accès à l’enquête: ICI

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Moustique-tigre: campagne 2023

Voilà plus d’une trentaine d’années qu’Aedes albopictus (ou moustique-tigre) est présent en Europe occidentale : identifié en Albanie dès 1979, il est présent, notamment, en Italie depuis le début des années 1990. Depuis sa zone d’origine, le sud-est asiatique, il a essaimé à la surface de la planète à la faveur du commerce international, en particulier des pneumatiques usagés.

En 18 ans, soixante et onze départements colonisés

Un autre problème est, ensuite, celui de son extension de proche en proche par des moyens très classiques : les transports individuels et collectifs. Car le moustique-tigre Aedes albopictus prend la voiture, le train ou l’autobus (entre autres)… C’est comme cela qu’il a franchi la frontière franco-italienne, en 2004 / 2005, du côté de Menton (Alpes-Maritimes), et qu’il a commencé à coloniser des territoires entiers. Après seize années, il a été identifié, fin 2022, dans 71 départements métropolitains, dans des proportions variées. Il est désormais bien implanté en Corse, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Occitanie, particulièrement en ex-Languedoc-Roussillon. Il remonte la vallée du Rhône, à l’est, et le littoral atlantique, à l’ouest. Il a été trouvé jusqu’en région parisienne et en Alsace.

Présent en Occitanie

C’est depuis 2011 / 2012 qu’il a commencé à investir le Languedoc-Roussillon, par le département du Gard. Fin 2022, il était installé dans 259 commune gardoises (dont Nîmes et Alès), 255 communes héraultaises (dont Montpellier, Sète et Béziers), 179 communes audoises (dont Narbonne et Carcassonne), 147 communes dans les P-O (dont Perpignan). Son extension continue vers le sud-ouest, puisqu’on le trouve aussi, à des degrés divers, dans les treize départements d’Occitanie…, jusqu’en Nouvelle-Aquitaine et au-delà.

Prévention

Les manières concrètes de se prémunir du moustique-tigre

Les femelles du moustique-tigre Aedes albopictus pondent leurs œufs à sec, sur la paroi ou le rebord d’un récipient ou objet incurvé pouvant recueillir de l’eau, et/ou à la limite d’un niveau d’eau. À partir du milieu du printemps, lorsque les conditions climatiques sont favorables, les œufs éclosent dès qu’ils entrent en contact avec de l’eau (pluie, arrosage…) : ils donnent alors des larves qui, au bout de 5 à 6 jours, deviennent, après nymphose, des moustiques adultes et… piqueurs. Important : ce phénomène se produit avec des eaux propres comme sales.

Gîtes larvaires : un peu partout chez soi

Les « gîtes » de reproduction du moustique-tigre Aedes albopictus sont très souvent de micro dimension (à partir de quelques millilitres seulement), toujours en milieu urbain ou périurbain, jamais en milieux naturels humides ouverts. C’est une foultitude de petites collections d’eau artificielles telles que :

  • seaux, vases, soucoupes.
  • fûts, citernes, récupérateurs d’eau.
  • chéneaux et gouttières, bondes et rigoles.
  • pneus, boîtes de conserve.
  • et tout petit réceptacle d’eaux pluviales ou domestiques à découvert.

Ces « gîtes » de reproduction sont, en grande partie, « fabriqués » par l’Homme. Ils se trouvent, pour 80 % d’entre eux, au sein des domiciles privés : cours, jardins, terrasses, balcons… Il est impossible de les recenser tous et de les traiter systématiquement à l’état larvaire, car ils pullulent et sont aléatoires dans l’espace et dans le temps.

Pas d’eau pour les moustiques

Alors, si vous êtes dans cette situation, ne tergiversez pas : la façon la plus efficace de se protéger de ces nuisances en amont, c’est ranger, curer, protéger, couvrir (toiles moustiquaires) ou évacuer les eaux stagnantes. Ou, mieux encore : chaque fois que possible, supprimer physiquement ces gîtes. Et convaincre son voisinage de faire de même, car agir isolément n’est pas suffisant. Il faut se mobiliser collectivement.

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

Toutes les infos sur : www.moustiquetigre.org

Qui suis-je ? *

Je suis tout petit (moins de 7 mm), très noir avec des tigrures blanches sur le corps qui m’ont valu mon surnom.

Contrairement à certains de mes congénères, je pique le jour, à l’extérieur des habitations, et je suis très vorace ! La nuit, je me repose dans la végétation.

J’affectionne particulièrement l’Homme, en milieu urbain, qui me fournit le « repas » sanguin, nécessaire à la maturation de mes œufs, ainsi que les lieux de ponte, qui sont tous récipients ou objets pouvant recueillir de l’eau, souvent très petits.

Je me déplace très peu (150 mètres environ depuis mon lieu de naissance) car je vole très mal. Mais pour coloniser les territoires, j’ai une astuce : le transport passif ! J’accompagne l’Homme dans ses déplacements. Et oui, je prends la voiture, le train, le bus, les camions et tout autre moyen de transports. Très pratique ! C’est ce qui m’a permis de quitter mon Asie du sud-est originelle pour venir m’implanter un peu partout sur la planète, y compris dans plus d’une soixantaine de départements métropolitains, à ce jour.

J’ai une excellente capacité d’adaptation. En régions tempérées, j’ai une activité de mai à novembre. En période hivernale, mes œufs se mettent en diapause (une sorte d’hibernation) et, dans de « bonnes conditions » (après une mise en eau), mon espèce revient en force la saison suivante.

Les Hommes ne m’aiment pas, car si je pique beaucoup, je suis aussi potentiellement vecteur de maladies, comme la dengue, le chikungunya ou le Zika. Mais pour cela, il faut que je pique une personne atteinte de cette maladie et se trouvant en période de virémie, ce qui dans nos régions tempérées est heureusement rare.

Développement aquatique : c’est là que tout se joue

La multitude de gîtes larvaires (lieux de ponte) qui existent dans notre environnement proche (seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes, gouttières obstruées, bâches non tendues…) fait de chacune et chacun de nous le premier acteur de la lutte contre la prolifération de ce moustique. Plusieurs gestes simples, économiques et efficaces peuvent être mis en œuvre :

  • mettre du sable dans les coupelles de pots de fleurs, qui évite l’eau stagnante tout en gardant, après arrosage, l’humidité.
  • fermer hermétiquement les collecteurs d’eau de pluie ou les couvrir avec de la toile moustiquaire à maille fine (car le moustique-tigre est tout petit).
  • vérifier l’écoulement des eaux des gouttières et de tout autre conduit.
  • vider une fois par semaine ou ramasser tous les réceptacles potentiels dans les jardins, sur les terrasses et les balcons (écuelles pour animaux, bâches non tendues, jouets, outils et objets de jardinage qui peuvent retenir l’eau, etc).

Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.

« Zéro éclosion, zéro invasion ! »

C’est au prix d’une lutte incessante, individuelle et collective (au niveau de chez soi ET de son quartier), que pourront être réduits les niveaux de populations de moustiques-tigres et leur nuisance.

Pour en savoir plus : www.moustiquetigre.org

Informations complémentaires : www.eid-med.org

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Animation musicale de la bibliothèque municipale: COMPLET

En affiliation avec la BDA Bibliothèque Départementale de l’Aude La Bibliothèque d’Ouveillan présente

Lionel Dollet, auteur-compositeur-interprète, guitariste et chanteur, viendra avec son panier “magique” empli de petits instruments du monde entier, afin de partager ces sonorités qui l’ont enchanté tout le long de sa vie de troubadour, et l’enchantent encore !

Muni de sa guitare il interprètera un répertoire de chansons destinées aux petits… et aux grands.

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