Percep’sens. Prendre du temps pour soi pour s’épanouir ensemble au quotidien
Réunion d’informations: Conférence de sensibilisation interactive avec des ateliers « découverte » mémoire et santé.
Redécouvrir le plaisir de s’exercer, de s’affirmer, de se sentir compétent et reconnu. Echanger et partager un moment convivial autour d’exercices cognitifs, sensoriels et corporels afin de préserver votre mémoire, de reprendre confiance en vos capacités.
Le 5 Septembre de 14h00 – 16h00 – Cinéma le Royal – Bd Robespierre
Températures caniculaires ce mercredi, en hausses par rapport à mardi, comprises entre 39 et 42°c. plus frais sur le littoral, entre 34 et 37°c. jeudi, après une nuit douce durant laquelle on attend de 21 à 25°c, une baisse s’amorce avec des températures maximales comprises entre 35 et 39°c
Définition de la vigilance rouge : Une vigilance absolue s’impose des phénomènes dangereux d’intensité exceptionnelle sont prévus tenez vous régulièrement au courant de l’évolution de la situation et respectez impérativement les consignes de sécurité émises par les pouvoirs publics.
Voilà plus d’une trentaine d’années qu’Aedes albopictus(ou moustique-tigre) est présent en Europe occidentale : identifié en Albanie dès 1979, il est présent, notamment, en Italie depuis le début des années 1990. Depuis sa zone d’origine, le sud-est asiatique, il a essaimé à la surface de la planète à la faveur du commerce international, en particulier des pneumatiques usagés.
En 18 ans, soixante et onze départements colonisés
Un autre problème est, ensuite, celui de son extension de proche en proche par des moyens très classiques : les transports individuels et collectifs. Car le moustique-tigre Aedes albopictus prend la voiture, le train ou l’autobus (entre autres)… C’est comme cela qu’il a franchi la frontière franco-italienne, en 2004 / 2005, du côté de Menton (Alpes-Maritimes), et qu’il a commencé à coloniser des territoires entiers. Après seize années, il a été identifié, fin 2022, dans 71 départements métropolitains, dans des proportions variées. Il est désormais bien implanté en Corse, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Occitanie, particulièrement en ex-Languedoc-Roussillon. Il remonte la vallée du Rhône, à l’est, et le littoral atlantique, à l’ouest. Il a été trouvé jusqu’en région parisienne et en Alsace.
Présent en Occitanie
C’est depuis 2011 / 2012 qu’il a commencé à investir le Languedoc-Roussillon, par le département du Gard. Fin 2022, il était installé dans 259 commune gardoises (dont Nîmes et Alès), 255 communes héraultaises (dont Montpellier, Sète et Béziers), 179 communes audoises (dont Narbonne et Carcassonne), 147 communes dans les P-O (dont Perpignan). Son extension continue vers le sud-ouest, puisqu’on le trouve aussi, à des degrés divers, dans les treize départements d’Occitanie…, jusqu’en Nouvelle-Aquitaine et au-delà.
Prévention
Les manières concrètes de se prémunir du moustique-tigre
Les femelles du moustique-tigre Aedes albopictus pondent leurs œufs à sec, sur la paroi ou le rebord d’un récipient ou objet incurvé pouvant recueillir de l’eau, et/ou à la limite d’un niveau d’eau. À partir du milieu du printemps, lorsque les conditions climatiques sont favorables, les œufs éclosent dès qu’ils entrent en contact avec de l’eau (pluie, arrosage…) : ils donnent alors des larves qui, au bout de 5 à 6 jours, deviennent, après nymphose, des moustiques adultes et… piqueurs. Important : ce phénomène se produit avec des eaux propres comme sales.
Gîtes larvaires : un peu partout chez soi
Les « gîtes » de reproduction du moustique-tigre Aedes albopictus sont très souvent de micro dimension (à partir de quelques millilitres seulement), toujours en milieu urbain ou périurbain, jamais en milieux naturels humides ouverts. C’est une foultitude de petites collections d’eau artificielles telles que :
seaux, vases, soucoupes.
fûts, citernes, récupérateurs d’eau.
chéneaux et gouttières, bondes et rigoles.
pneus, boîtes de conserve.
et tout petit réceptacle d’eaux pluviales ou domestiques à découvert.
Ces « gîtes » de reproduction sont, en grande partie, « fabriqués » par l’Homme. Ils se trouvent, pour 80 % d’entre eux, au sein des domiciles privés : cours, jardins, terrasses, balcons… Il est impossible de les recenser tous et de les traiter systématiquement à l’état larvaire, car ils pullulent et sont aléatoires dans l’espace et dans le temps.
Pas d’eau pour les moustiques
Alors, si vous êtes dans cette situation, ne tergiversez pas : la façon la plus efficace de se protéger de ces nuisances en amont, c’est ranger, curer, protéger, couvrir (toiles moustiquaires) ou évacuer les eaux stagnantes. Ou, mieux encore : chaque fois que possible, supprimer physiquement ces gîtes. Et convaincre son voisinage de faire de même, car agir isolément n’est pas suffisant. Il faut se mobiliser collectivement.
Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.
« Zéro éclosion, zéro invasion ! »
Toutes les infos sur : www.moustiquetigre.org
Qui suis-je ? *
Je suis tout petit (moins de 7 mm), très noir avec des tigrures blanches sur le corps qui m’ont valu mon surnom.
Contrairement à certains de mes congénères, je pique le jour, à l’extérieur des habitations, et je suis très vorace ! La nuit, je me repose dans la végétation.
J’affectionne particulièrement l’Homme, en milieu urbain, qui me fournit le « repas » sanguin, nécessaire à la maturation de mes œufs, ainsi que les lieux de ponte, qui sont tous récipients ou objets pouvant recueillir de l’eau, souvent très petits.
Je me déplace très peu (150 mètres environ depuis mon lieu de naissance) car je vole très mal. Mais pour coloniser les territoires, j’ai une astuce : le transport passif ! J’accompagne l’Homme dans ses déplacements. Et oui, je prends la voiture, le train, le bus, les camions et tout autre moyen de transports. Très pratique ! C’est ce qui m’a permis de quitter mon Asie du sud-est originelle pour venir m’implanter un peu partout sur la planète, y compris dans plus d’une soixantaine de départements métropolitains, à ce jour.
J’ai une excellente capacité d’adaptation. En régions tempérées, j’ai une activité de mai à novembre. En période hivernale, mes œufs se mettent en diapause (une sorte d’hibernation) et, dans de « bonnes conditions » (après une mise en eau), mon espèce revient en force la saison suivante.
Les Hommes ne m’aiment pas, car si je pique beaucoup, je suis aussi potentiellement vecteur de maladies, comme la dengue, le chikungunya ou le Zika. Mais pour cela, il faut que je pique une personne atteinte de cette maladie et se trouvant en période de virémie, ce qui dans nos régions tempérées est heureusement rare.
Développement aquatique : c’est là que tout se joue
La multitude de gîtes larvaires (lieux de ponte) qui existent dans notre environnement proche (seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes, gouttières obstruées, bâches non tendues…) fait de chacune et chacun de nous le premier acteur de la lutte contre la prolifération de ce moustique. Plusieurs gestes simples, économiques et efficaces peuvent être mis en œuvre :
mettre du sable dans les coupelles de pots de fleurs, qui évite l’eau stagnante tout en gardant, après arrosage, l’humidité.
fermer hermétiquement les collecteurs d’eau de pluie ou les couvrir avec de la toile moustiquaire à maille fine (car le moustique-tigre est tout petit).
vérifier l’écoulement des eaux des gouttières et de tout autre conduit.
vider une fois par semaine ou ramasser tous les réceptacles potentiels dans les jardins, sur les terrasses et les balcons (écuelles pour animaux, bâches non tendues, jouets, outils et objets de jardinage qui peuvent retenir l’eau, etc).
Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.
« Zéro éclosion, zéro invasion ! »
C’est au prix d’une lutte incessante, individuelle et collective (au niveau de chez soi ET de son quartier), que pourront être réduits les niveaux de populations de moustiques-tigres et leur nuisance.
Pour répondre aux exigences nécessaires pour assurer les premiers secours, un défibrillateur vient d’être installé à l’extérieur de la salle des fêtes. Ceci complète la dotation communale, un appareil étant déjà en fonction à l’extérieur de l’espace loisirs du stade municipal.
Le défibrillateur est un équipement médical d’urgence qui est conçu pour être utilisé par des personnes sans formation médicale spécifique, grâce à des instructions vocales claires et simples. Une partie du personnel communal a été sensibilisée à l’utilisation.
Outre l’équipement d’urgence des médecins, l’EHPAD est aussi doté d’un appareil accessible depuis l’extérieur et deux entreprises ouveillanaises ont fait part de leur souhait d’en acquérir.
Autant d’initiatives qui peuvent permettre de sauver des vies
Voilà plus d’une trentaine d’années qu’Aedes albopictus(ou moustique-tigre) est présent en Europe occidentale : identifié en Albanie dès 1979, il est présent, notamment, en Italie depuis le début des années 1990. Depuis sa zone d’origine, le sud-est asiatique, il a essaimé à la surface de la planète à la faveur du commerce international, en particulier des pneumatiques usagés.
En 18 ans, soixante et onze départements colonisés
Un autre problème est, ensuite, celui de son extension de proche en proche par des moyens très classiques : les transports individuels et collectifs. Car le moustique-tigre Aedes albopictus prend la voiture, le train ou l’autobus (entre autres)… C’est comme cela qu’il a franchi la frontière franco-italienne, en 2004 / 2005, du côté de Menton (Alpes-Maritimes), et qu’il a commencé à coloniser des territoires entiers. Après seize années, il a été identifié, fin 2022, dans 71 départements métropolitains, dans des proportions variées. Il est désormais bien implanté en Corse, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur et en Occitanie, particulièrement en ex-Languedoc-Roussillon. Il remonte la vallée du Rhône, à l’est, et le littoral atlantique, à l’ouest. Il a été trouvé jusqu’en région parisienne et en Alsace.
Présent en Occitanie
C’est depuis 2011 / 2012 qu’il a commencé à investir le Languedoc-Roussillon, par le département du Gard. Fin 2022, il était installé dans 259 commune gardoises (dont Nîmes et Alès), 255 communes héraultaises (dont Montpellier, Sète et Béziers), 179 communes audoises (dont Narbonne et Carcassonne), 147 communes dans les P-O (dont Perpignan). Son extension continue vers le sud-ouest, puisqu’on le trouve aussi, à des degrés divers, dans les treize départements d’Occitanie…, jusqu’en Nouvelle-Aquitaine et au-delà.
Prévention
Les manières concrètes de se prémunir du moustique-tigre
Les femelles du moustique-tigre Aedes albopictus pondent leurs œufs à sec, sur la paroi ou le rebord d’un récipient ou objet incurvé pouvant recueillir de l’eau, et/ou à la limite d’un niveau d’eau. À partir du milieu du printemps, lorsque les conditions climatiques sont favorables, les œufs éclosent dès qu’ils entrent en contact avec de l’eau (pluie, arrosage…) : ils donnent alors des larves qui, au bout de 5 à 6 jours, deviennent, après nymphose, des moustiques adultes et… piqueurs. Important : ce phénomène se produit avec des eaux propres comme sales.
Gîtes larvaires : un peu partout chez soi
Les « gîtes » de reproduction du moustique-tigre Aedes albopictus sont très souvent de micro dimension (à partir de quelques millilitres seulement), toujours en milieu urbain ou périurbain, jamais en milieux naturels humides ouverts. C’est une foultitude de petites collections d’eau artificielles telles que :
seaux, vases, soucoupes.
fûts, citernes, récupérateurs d’eau.
chéneaux et gouttières, bondes et rigoles.
pneus, boîtes de conserve.
et tout petit réceptacle d’eaux pluviales ou domestiques à découvert.
Ces « gîtes » de reproduction sont, en grande partie, « fabriqués » par l’Homme. Ils se trouvent, pour 80 % d’entre eux, au sein des domiciles privés : cours, jardins, terrasses, balcons… Il est impossible de les recenser tous et de les traiter systématiquement à l’état larvaire, car ils pullulent et sont aléatoires dans l’espace et dans le temps.
Pas d’eau pour les moustiques
Alors, si vous êtes dans cette situation, ne tergiversez pas : la façon la plus efficace de se protéger de ces nuisances en amont, c’est ranger, curer, protéger, couvrir (toiles moustiquaires) ou évacuer les eaux stagnantes. Ou, mieux encore : chaque fois que possible, supprimer physiquement ces gîtes. Et convaincre son voisinage de faire de même, car agir isolément n’est pas suffisant. Il faut se mobiliser collectivement.
Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.
« Zéro éclosion, zéro invasion ! »
Toutes les infos sur : www.moustiquetigre.org
Qui suis-je ? *
Je suis tout petit (moins de 7 mm), très noir avec des tigrures blanches sur le corps qui m’ont valu mon surnom.
Contrairement à certains de mes congénères, je pique le jour, à l’extérieur des habitations, et je suis très vorace ! La nuit, je me repose dans la végétation.
J’affectionne particulièrement l’Homme, en milieu urbain, qui me fournit le « repas » sanguin, nécessaire à la maturation de mes œufs, ainsi que les lieux de ponte, qui sont tous récipients ou objets pouvant recueillir de l’eau, souvent très petits.
Je me déplace très peu (150 mètres environ depuis mon lieu de naissance) car je vole très mal. Mais pour coloniser les territoires, j’ai une astuce : le transport passif ! J’accompagne l’Homme dans ses déplacements. Et oui, je prends la voiture, le train, le bus, les camions et tout autre moyen de transports. Très pratique ! C’est ce qui m’a permis de quitter mon Asie du sud-est originelle pour venir m’implanter un peu partout sur la planète, y compris dans plus d’une soixantaine de départements métropolitains, à ce jour.
J’ai une excellente capacité d’adaptation. En régions tempérées, j’ai une activité de mai à novembre. En période hivernale, mes œufs se mettent en diapause (une sorte d’hibernation) et, dans de « bonnes conditions » (après une mise en eau), mon espèce revient en force la saison suivante.
Les Hommes ne m’aiment pas, car si je pique beaucoup, je suis aussi potentiellement vecteur de maladies, comme la dengue, le chikungunya ou le Zika. Mais pour cela, il faut que je pique une personne atteinte de cette maladie et se trouvant en période de virémie, ce qui dans nos régions tempérées est heureusement rare.
Développement aquatique : c’est là que tout se joue
La multitude de gîtes larvaires (lieux de ponte) qui existent dans notre environnement proche (seaux, vases, soucoupes, fûts, citernes, gouttières obstruées, bâches non tendues…) fait de chacune et chacun de nous le premier acteur de la lutte contre la prolifération de ce moustique. Plusieurs gestes simples, économiques et efficaces peuvent être mis en œuvre :
mettre du sable dans les coupelles de pots de fleurs, qui évite l’eau stagnante tout en gardant, après arrosage, l’humidité.
fermer hermétiquement les collecteurs d’eau de pluie ou les couvrir avec de la toile moustiquaire à maille fine (car le moustique-tigre est tout petit).
vérifier l’écoulement des eaux des gouttières et de tout autre conduit.
vider une fois par semaine ou ramasser tous les réceptacles potentiels dans les jardins, sur les terrasses et les balcons (écuelles pour animaux, bâches non tendues, jouets, outils et objets de jardinage qui peuvent retenir l’eau, etc).
Privé d’accès à l’eau, le moustique-tigre ne se reproduit pas.
« Zéro éclosion, zéro invasion ! »
C’est au prix d’une lutte incessante, individuelle et collective (au niveau de chez soi ET de son quartier), que pourront être réduits les niveaux de populations de moustiques-tigres et leur nuisance.
A l’écoute des besoins de santé dans chaque territoire, l’ARS interroge chacun d’entre nous à travers une quinzaine de questions : Comment va votre santé ? Quels besoins prioritaires mais aussi quelles idées et propositions pour des solutions de proximité ?
Les réponses des participants contribueront à l’élaboration des priorités de notre politique régionale de santé en Occitanie, en lien avec l’ensemble des acteurs de nos territoires et de nos instances de démocratie sanitaire.
Cette consultation citoyenne en ligne sera complétée courant mars et avril de 13 ateliers organisés dans chaque département pour aller à la rencontre de publics spécifiques ou échanger sur des thématiques plus ciblées. Ces précisions sont accessibles sur le site de la consultation (jeparticipe.occitanie.ars.sante.fr)
A l’issue de ces démarches, la synthèse de toutes ces contributions citoyennes sera elle aussi restituée via cette même plateforme internet de la Fabrique citoyenne en santé, déployée par l’ARS Occitanie.
Mars Bleu, Bon anniversaire ! Dès 50 ans, vous allez être invité à participer gratuitement au dépistage organisé du cancer colorectal par le CRCDC (tous les 2 ans). Quelle chance ! Rendez-vous sur occitanie-depistagecancer.fr pour plus d’infos.
Mars Bleu, Plus d’excuses ! Commandez en ligne votre Kit de dépistage du cancer colorectal (de 50 à 74 ans ; tous les 2 ans) > simple, rapide à faire à la maison et il est pris en charge à 100% par l’Assurance maladie : monkit.depistage-colorectal.fr
Le dépistage du cancer colorectal c’est un kit simple et rapide à faire à la maison et qui peut me sauver le popotin. Parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacie agréée.
Le plus souvent, dépisté à temps, le cancer colorectal n’est pas méchant.
Le saviez-vous ? 96% des tests de dépistage du cancer colorectal ne révèlent rien d’anormal. Alors pourquoi s’en priver ?
Le comportement sédentaire ou le temps passé assis, fait augmenter le risque de cancer colorectal. Il est recommandé de pratiquer 30 minutes d’activité physique quotidiennement.
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